Une meilleure connaissance des risques et l’instauration d’une gouvernance internationale sont deux prérequis incontournables à la géoingénierie climatique, estime un rapport écrit par l’EPFL sous mandat de l’Office fédéral de l’environnement (OFEV), paru le 19 juin. Mais au vu des enjeux éthiques qu’implique cette approche, une telle structure de gouvernance a peu de chances d’émerger tout de suite... Un article sur le nouveau rapport avec un commentaire d'Ivo Wallimann-Helmer: https://www.heidi.news/sciences/l-epfl-plaide-pour-une-meilleure-gouvernance-de-l-ingenierie-climatique